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Oh là là ! Tellement heureuse de te retrouver pour ce dernier article de l’année un peu plus personnel que d’habitude ! Fin d’année oblige, j’ai décidé de jouer le jeu du fameux bilan 2018, et pour cause : cette année a sacrément secoué, j’ai un paquet de choses à te raconter! Ce sera donc un mélange article de blog et FAQ puisque j’ai proposé à celles qui me suivent sur Instagram de me poser toutes leurs questions afin que je fasse d’une pierre deux coups!

Pour celles qui me découvrent ou qui n’auraient pas suivi la folle aventure que je vis depuis plus dʼun an maintenant, prenons le temps de faire un court flash-back. En octobre 2017, je quittais mon emploi de lʼépoque (fleuriste) après moult péripéties qui m’ont permis de réaliser que jʼavais fait le tour de ce job. Me voici donc au chômage, pour la première fois de ma vie, bosseuse acharnée que je suis, à 29 ans, perdue et sans aucune idée de quoi serait fait demain. Et je me souviens très bien de cette phrase que je me suis dite immédiatement : « ce n’est pas en restant le c*l vissé sur le canapé que ma vie va changer. Si je veux que ça bouge, c’est à moi de bouger. » Et le moins qu’on puisse dire, c’est que depuis je m’y attelle avec ferveur ^^!

Me voilà donc partie en quête de moi-même, avec une seule et unique certitude : je veux accompagner les autres, leur permettre d’améliorer leur vie. Après quelques recherches je découvre le métier de coach, coup de foudre immédiat : je veux être coach, c’est décidé !

Par quoi j’ai commencé ? Quelle est la première formation que j’ai faite ?

J’ai immédiatement senti que le coaching était fait pour moi, dans le sens « c’est la base dont j’ai besoin pour développer une activité qui puisse évoluer au gré de mes envies ». Pourtant à l’époque je n’en savais presque rien, je ne m’étais pas faite coacher moi-même. Bien sûr j’avais rencontré des professionnels pour avoir leurs retours, certains mʼont d’ailleurs donné des conseils dont je me serais bien passé (me vieillir entre autres), d’autres d’excellents (être moi-même, faire ce que mon cœur me dit, suivre mon intuition, croire en moi). J’ai commencé ma formation en février, et c’est venu confirmer l’évidence : je me sentais faite pour ça !

Trois mois plus tard, avant même dʼavoir fini ma formation, jʼai ressenti l’envie irrépressible de me lancer à mon compte : trouver un job alimentaire en attendant (attendre quoi?) nʼavait pas de sens, autant foncer maintenant! ! D’ailleurs j’ai immédiatement eu mes trois premières clientes. Pour la première fois de ma vie je me sentais vraiment à ma place, je voulais tenter, jʼavais cette sensation dʼavoir déjà perdu trop de temps et quʼattendre encore ne ferait que repousser lʼéchéance, alors que je mourrais dʼenvie (et de peur avouons-le, mais lʼenvie primait) de me lancer.

Quelles ont été les clés du succès ?

Avec le recul je pense quʼil y en a eu plusieurs.
La première est sans doute ce sentiment dʼêtre à ma place, enfin, dʼavoir trouvé ma voie, de me sentir passionnée et vivante : ça m’a permis de garder le cap même dans les moments difficiles, de croire en mon projet dur comme fer. Quand tu sens que tu fais VRAIMENT ce qui te fait vibrer, tu n’envisages pas d’autre option : c’est une évidence !

La seconde est le fait de m’être écoutée, toujours, pour tout: la formation que jʼai choisie, les nouvelles relations que jʼai tissées, les choix que jʼai faits, les décisions que j’ai prises… Beaucoup de gens projettent leurs peurs et leurs croyances limitantes sur toi quand tu sors des chemins battus, parce que cʼest confrontant pour eux, ça les renvoie à leur propre choix de vie, et cʼest ok. Mais ce nʼest pas facile de devoir gérer tes peurs , tes doutes et ceux des autres en supplément. Le chemin nʼa clairement pas été facile mais si cʼétait à refaire je foncerais à nouveau sans hésiter!

La troisième cʼest de ne mʼêtre jamais reposée sur mes lauriers. Je suis vraiment en accord avec cette phrase qui dit quʼêtre immobile cʼest mourir : j’adore le mouvement, le changement, la nouveauté, cʼest très stimulant pour moi, sans ça je mʼennuie très vite. Jʼai donc réinvesti de lʼargent tous les mois dans des formations pour continuer à progresser, aller plus loin, apporter un maximum de valeur à mes clientes et acquérir une réelle expertise. Mon objectif nʼa jamais été de me fondre dans la masse, d’être « au ras des pâquerettes », une coach parmi tant d’autres qui vivote tant bien que mal de son activité, mais bien de me créer une activité sur-mesure, florissante, qui grandisse et évolue avec moi. Depuis que jʼai décidé dʼêtre coach je suis bien plus ambitieuse, dans le bon sens du terme : je veux apporter des accompagnements de grande qualité à mes clientes, pour ça je donne énormément de temps, dʼargent et dʼénergie, et tu sais quoi : je reçois énormément en retour ! Et surtout je vois que ça porte ses fruits, une de mes anciennes clientes avec qui j’ai travaillé pour la deuxième fois me l’a confirmé hier : « Objectif plus qu’atteint grâce à toi et à ton accompagnement ! En tous cas comme je te le disais ce matin, je trouve vraiment que tes coachings ont pris en hauteur et en qualité. Et je conseille vivement tes anciennes clientes comme moi à revenir vers toi. Tu évolues en même temps que nous, du coup à chaque fois c’est encore mieux, encore plus pro… ! « 

Si je ne devais citer que quatre clés je dirais que la quatrième a sans doute été ma détermination : pas une seule seconde je n’ai pensé à faire marche arrière, et je me suis promis que mon activité ne mettrait pas deux ans (c’est la moyenne que beaucoup m’avaient donnée, dont mes formateurs) pour décoller. Résultats : moins d’un an après mon lancement je me dégageais un salaire trois fois supérieur à ce que je gagnais en étant salariée ! Bien entendu le salaire n’est qu’une répercussion de tout le travail que j’ai fait sur moi et sur mon activité dans l’ombre, ce n’est ni de la chance ni du hasard, mais il est aussi la preuve que quand on croit en ses projets plus que tout, tout est possible !

Comment jʼai géré mes doutes

« Je ne sais pas ce que ça va donner mais au moins jʼaurais essayé », c’est presque devenu un mantra pour moi. Chaque fois que jʼavais envie de faire quelque chose et que jʼavais peur, je me demandais : est-ce que tu risques de le regretter si tu nʼessaies jamais? Quand la réponse était oui (autant dire : tout le temps!) je me mettais un coup de pied au c*l et jʼy allais, tout en gardant à lʼesprit que rien nʼest figé et que jʼavais toujours la liberté de changer dʼavis si je le souhaitais. Mais hors de question dʼavoir des regrets sur mon lit de mort! Résultat j’ai fait des bonds de géant et m’a vie s’est littéralement transformée en quelques mois !

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Comment jʼai travaillé mon état dʼesprit ?

Jʼaime beaucoup cette phrase qui dit « tout le monde veut aller au Paradis mais personne ne veut mourir ». Jʼai rapidement compris que si je voulais concrétiser de grands rêves, je devais être prête à faire ce que la majorité des gens évitent : plonger dans l’inconfort, et m’y habituer! Oui, repousser ses limites, se challenger, se remettre en question, devoir faire des choix, se responsabiliser vis-à-vis de soi-même et des autres, se dépasser sans cesse, cʼest inconfortable, et ça demande du courage. Oui, réussir rapidement demande de faire de gros efforts, dʼêtre capable de sʼauto-discipliner et de laisser partir tout ce qui ne nous correspond plus, même si ça fait peur. Ne garder que ce qui est aligné, réajuster le reste ou s’en séparer.
Jʼai fait des choix qui ont complètement transformé ma vie, j’ai déménagé dans une ville où je nʼavais personne dʼautre que mon chéri, et me suis retrouvée confrontée de plein fouet à la solitude de l’entrepreneure, malgré un entourage bienveillant. Jʼai énormément travaillé sur moi, jʼai écrit, lu, réfléchi à mon rapport à lʼargent, aux autres, remis en doute mes croyances, appris à transformer et lâcher prise sur certaines situations qui me faisaient énormément souffrir, de manière répétitive. Jʼai cherché à comprendre comment transformer le plomb en or: métamorphoser le difficile en expérience, les cycles répétitifs en leçons de vie. Jʼai apprivoisé ma solitude jusquʼà en faire une alliée, moi qui en avais toujours eu si peur…

Je nʼai pas cherché à fuir mais bien à découvrir, à expérimenter, et jʼai pris conscience des prisons dorées quʼon se crée bien souvent, quʼelles soient physiques ou mentales, souvent un peu des deux. Jʼai réalisé que jusque-là je mʼempêchais de vivre, jʼentends par là vivre pleinement, comme jʼen ai toujours rêvé mais aussi toujours eu peur, parce que oui, briller fait peur, réussir fait peur, être ambitieuse fait peur, gagner de lʼargent aussi! Après avoir passé 29 ans à essayer de me « contenir », jʼai décidé quʼil était temps de me libérer.

J’ai veillé aussi à m’entourer d’inspiration positive, boostante et bienfaisante : livres, films, podcasts, mentors, pour me dépasser sans cesse j’ai dû chercher à comprendre comment faisaient ceux qui réussissent, et les modéliser. Je me suis imprégnée de leur état d’esprit, de leurs routines, de leurs apprentissages. J’ai écouté mon cœur avant tout, contre vents et marées, certaine dorénavant de pouvoir me faire confiance et qu’apprendre à m’écouter chaque jour davantage serait la clé d’une vie vraiment épanouie et satisfaisante.

Mes 3 apprentissages entrepreneuriaux de lʼannée

Lʼentrepreneuriat à lui seul a été un sacré apprentissage je dirais! Déjà parce que jʼavais toujours cru jusque là être faite pour le salariat : avant le coaching je nʼavais JAMAIS envisagé dʼêtre à mon compte. Pourtant avec le recul jʼai vite réalisé que jʼavais un caractère dʼentrepreneure: déjà lorsque jʼétais salariée jʼavais cette forte valeur de qualité, jʼétais très investie, je bossais dur et beaucoup, jʼétais créative, jʼaimais innover…. Lʼentrepreneuriat mʼa vraiment poussé à donner le meilleur de moi- même, à beaucoup me challenger, ça mʼa appris à mʼaimer davantage aussi, à être fière de moi et à mʼautoriser à souffler. Au départ jʼavais beaucoup de mal à décrocher, je ne prenais pas de week-ends, je bossais tout le temps. Alors certes je suis passionnée mais la vie continue et je nʼaurais pas tenu à ce rythme. Progressivement jʼai levé le pied, et aujourd’hui je m’accorde de « vrais » week-ends, je vais même prendre 10 jours de vacances pendant les fêtes !

Si je ne devais ressortir que 3 grands apprentissages de cette expérience, je dirais sans doute le positionnement, l’évolution constante et l’importance de l’état d’esprit.

Avant que je me lance on m’a beaucoup dit (et encore, j’ai eu la chance d’avoir un entourage qui me soutenait !) que je n’arriverais pas à vivre du coaching, que le marché était rude et complètement saturé. Que la seule solution, c’était de faire du coaching en entreprise, ce qui ne faisait pas du tout partie de mes plans! La vérité, c’est que ce n’est pas du tout ce que j’ai expérimenté sur le terrain : tout est dans le positionnement. Si je m’étais positionnée comme « une coach de vie » qui fait tout avec tout le monde, en effet je n’en serais pas là où j’en suis, j’aurais même pu ne jamais réussir à vivre de mon activité. Les coachs qui rament existent, il y en a plein, et ça n’a rien à voir avec l’école qu’on fait, son passé professionnel ou même ses compétences : c’est très facile de se positionner en victime et de dire que si notre activité ne fonctionne pas ce n’est pas notre faute, que ce sont le marché, la concurrence, un mauvais karma ou que sais-je encore. Mais c’est complètement faux : si ton activité ne marche pas, c’est parce que tu ne fais pas ce qu’il faut. Le problème ne vient ni des autres, ni du contexte, ni de quoi ou qui que ce soit d’autre que toi en réalité ! C’est dur à entendre mais c’est vrai, et c’est à toi de prendre tes responsabilités par rapport à ça : est-ce que tu passes plus de temps à agir (vraies actions à haute valeur ajoutée) ou à te trouver des excuses?

L’évolution constante est pour moi une des bases de la réussite, la vie est une réactualisation perpétuelle. Je vois tellement de personnes résister au changement, à la prise de risque, à la peur, alors que c’est là que se cachent les trésors les plus merveilleux : dans l’inconnu, l’inespéré, l’inattendu ! Ouvrir son cœur à la vie est le plus beau cadeau qu’on puisse se faire à soi-même ! J’ai moi-même énormément changé en un an et demi, j’ai eu des résistances à accepter celle que je devenais, j’avais peur de lâcher ce à quoi je m’identifiais jusqu’alors, peur parce que je déconstruisais ce que je connaissais pour construire de nouvelles fondations, plus saines certes, mais inconnues. Mes services ont été amenés à changer avec moi, et à chaque fois des angoisses ressurgissaient : et si ça ne plaisait pas ? Et si je faisais de mauvais choix? Ils vont être amenés à rechanger en février puisque je vais amener une dimension énergétique pour aller travailler bien plus en profondeur avec mes clientes, et cette fois-ci je m’en réjouis et j’ai entièrement confiance en mes décisions!

L’état d’esprit est en fait ce qui conditionne tout ça. J’en parle dans mon mini cours « entrepreneure à succès ». Pour moi c’est vraiment ce qui change tout : est-ce que toi-même tu crois en ce que tu fais ? Est-ce que tu es persuadée que c’est ce qui te permet de donner le meilleur de toi-même et d’aider au mieux les autres ? Je le dis souvent, pour moi aucun projet n’est irréalisable ou impossible, du moment que TOI tu as une foi inébranlable en ton projet, que tu sens que ton cœur et ton âme t’appellent à faire ça (on ne parle pas ici de mental, de choix sécuritaire ou raisonnable), alors FAIS-LE ! Ta seule limite c’est toi-même !

Envie d’avancer?

Tu te sens prête à passer à l’action, te lancer dans un projet de reconversion, d’entrepreneuriat ou développer ton activité indépendante mais seule tu n’avances pas comme tu voudrais, tu penses à te faire accompagner pour gagner du temps et de l’énergie?

Je te propose qu’on en discute lors d’un appel clarté pour faire le point sur ton projet. Tu gagneras en clarté et verras quoi mettre en place dès aujourd’hui pour passer à la vitesse supérieure! Pour cela il te suffit de répondre à quelques questions, je te recontacte dans les 24 heures!